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  • "Mably, la ville la plus chère de la Loire"

    Les taux de la taxe d’habitation, du foncier bâti et du foncier non bâti ont été respectivement de : 10.90 %,    23.25 %   et   55.91 %   

    Bruno Gallien a comparé les taux des Communes de même strate, (entre 5 000 et

    10 000 habitants), sur le site Bercy Colloc et  a précisé comme quelques exemples 

     

      7.87 %,      16.21 %   et    33.89 %  Andrézieux-Bouthéon

     

      9.32 %,      13.04 %   et    38.46 %  Feurs

     

    10.38 %,      19.10 %  et     32.46 %    Chazelles-sur-Lyon

     

      8.89 %,      15.13 %  et    20.17 %  Saint-Galmier

     

    10.11 %,      21.31 %  et   49.48 %    La Talaudière

     

      9.32 %,      13.27 %   et   23.79 %  Veauche

     

     

    Ces villes pratiquent des taux de fiscalité plus bas et ne sont pas

     

    pour autant endettées  ... 

     

    Jean-Jacques Ladet met fin alors au débat qui aura duré 1H30 

     

     


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  • Le groupe "Ensemble pour Mably" a tranché lors de la dernière séance de Conseil Municipal : Pas de hausse concernant la fiscalité.

    Une mairie qui constitue une « épargne » 1.671 millions d’€ représentant de 16 % des recettes de fonctionnement  (soit 10.178 millions d’€ en 2013) sur le dos des habitants qui souffrent, ne fait pas preuve d’une saine gestion

    Bruno Gallien a fait une seconde intervention en conseil pour présenter une simulation, en tenant compte des critères actuels. Une baisse fiscale, comme annoncée lors de la campagne des municipales, est tout à fait réalisable !

    Simulation avec les derniers chiffres portés à notre connaissance qui réponds aux préoccupations des habitants.

     

     

    -      Le financement des investissements par l’emprunt et non sur les recettes de fonctionnement d’une année (en profitant des taux d’intérêt très bas actuellement) aurait procure en 2013 une augmentation d’environ 74 000 € du montant des amortissements.

    -      En tenant compte de la prévision de baisse des dotations de l’Etat prévue pour 2015 d’environ 10 % de ce montant  1.262 millions d’€ en 2013 soit 126 000 €

    -      En tenant compte également, d’une estimation a la hausse de 0.3 % des dépenses, pour rappel 7.768 millions d’€ en 2013, en incluant  la prévision de l’inflation de 0.6 % pour 2015 et d’une meilleure maitrise des dépenses de fonctionnement et du redimensionnement  des investissements soit 23 000 €

    En envisageant, une baisse par exemple,  de 5 % du montant des impôts locaux 3.638 millions d’€ en 2013 obtenue en réduisant les taux d’imposition, soit 182 000 € 

     

     

    Au total cette somme représenteraient 405 000 €  constituant 24 % du résultat excédentaire de 1.671 millions d’€  pour 2013.

     

     


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  • Débat d'Orientations budgétaires : Intervention de Bruno Gallien, en début de séance municipale

    "Vous qualifiez vos projets de « dense et de longue haleine ».

     Pour vous, pas de réduction de dépenses ni de report d’investissement, vous souhaitez sécuriser les recettes.

     Dans la situation économique actuelle, la question des dépenses est centrale, vous devez faire des économies comme le font les ménages, qui ont appris à décaler certains de leurs investissements et à réduire leurs dépenses courantes.

     Les plans et budgets de fonctionnement et d’investissement doivent s’inscrire dans la capacité financière des habitants de la commune avec comme priorités l’emploi.

     Comment pouvez-vous maitriser les budgets de fonctionnement et d’investissement de la commune alors que vous les construisez et les officialisez une fois l’année entamée ?

    Bien que l’adoption du budget primitif des communes doit être prononcée au plus tard le 31 mars de l’exercice budgétaire, rien ne vous empêche, Monsieur Ladet d’estimer les dépenses d’une manière réaliste rigoureuse et responsable et d’estimer les recettes en appréciant les données de l’Etat transmises tout en incluant une baisse prévisible, avant fin décembre.

    Faut-il vous rappeler que le budget de l’Etat parait au journal officiel avant fin décembre de l’année précédente.

    Le résultat excédentaire actuel et les gains potentiels sur les dépenses permettent aisément de respecter l’équilibre entre les recettes et les dépenses.

     De plus, comment pouvez-vous piloter le budget de fonctionnement en ayant des prévisions d’achat supérieures de 12.1 % (0)aux réalisations ?

    Vous précisez « maitriser la dette ». En finançant une partie non négligeable des investissements grâce aux recettes de fonctionnement de l’année, vous réduisez la dette mais cela vous  oblige à dégager un excédent de fonctionnement annuel élevé. (En 2013, excédent de fonctionnement de 2.410 millions € soit 24 % des 10.178 millions € de recettes de fonctionnement).

     Vous savez très bien monsieur Ladet qu’en stabilisant les taux des impôts locaux alors que les valeurs locatives augmentent, vous faites croitre les montants des impôts locaux.

     Les actifs, eux, ont recours à l’emprunt pour s’équiper, leurs revenus ne pouvant pas augmenter à lademande.


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  • "Il parait qu'un débat doit être contradictoire", (cf  Libre Expression, groupe "Ensemble pour Mably",  Mably Info de Janvier), Ah bon !  

    Avec le dossier "fiscalité", préparé durant la campagne des élections municipales puis affiné avec les derniers comptes administratifs par Bruno Gallien, Raoul Junet, Daniel Dumas, Marina Gallien et leurs plus proches collaborateurs, le débat d'Orientations Budgétaires s'est donc révélé  facile pour Bruno Gallien face à une équipe majoritaire quelque peu décontenancée face à son argumentaire.  

    Bruno Gallien a donc démontré, via une simulation tenant compte de tous les critères actuels,  qu'une baisse de la fiscalité de l'ordre de 5 % était tout à fait réalisable et du même coup, le chef de l'opposition a mis à terre les différents propos -manipulateurs- du groupe Ladet, parus dans les dernières éditions municipales, concernant la baisse de la fiscalité comme un argument électoraliste pour Mably Passionnément.

    PRESSE DOB  PAYSPRESSE DOB PROGRES


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